Le béton ton matelas
Une marche comme oreiller
Pour ne plus sentir le froid
Tu bois de longue gorgées
Et meme sans croire en Dieu
Tu t'est mises à prier
Tu frottes vivement ton corps
pour cesser de trembler
En pleine hiver dehors
Non princesse de la rue
N'esperes pas rever
Le marchand de sable ne passe plus
Dans les cages d'escaliers
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